Les bâtis en brique se distinguent par leur charme particulier ainsi que le rendu chaleureux et stylé, ce qui nécessite de faire appel à un expert expérimenté pour intervenir sur un projet de ravalement. Cela afin de conserver ces caractéristiques originales de la construction qui, généralement, sont propres aux bâtis anciens. La plupart des briques sont réalisées sur la base de terre cuite. Comment réaliser le ravalement d’une façade faite à base de ce matériau ?
Considérer les caractéristiques de la brique
Il est avant tout indispensable de bien connaitre les caractéristiques de la brique avant de procéder au ravalement proprement dit. Par exemple, parmi ses avantages : la résistance au feu, la durabilité, ses qualités poreuses, son inertie, l’absence d’émission nocive, la performance de l’isolation thermique pour la brique creuse, la possibilité de recyclage.
Quelles sont les pathologies les plus fréquentes ?
Les briques sont assez vulnérables à l’humidité du fait de leur porosité. D’où la fréquence des pathologies telles que l’efflorescence qui se traduit par une remontée capillaire. Une trop forte humidité non traitée peut aussi aboutir à la fragilisation de l’ensemble du bâti. Par ailleurs, les joints sont plus ou moins fragiles et exposés à des risques de dégradation. L’effritement des briques fait aussi partie des pathologies fréquentes relevées, toujours en raison de leur porosité.
Du nettoyage au traitement
Le nettoyage se fait par le biais de procédés doux ; ainsi, le sablage par exemple est à bannir. Les façades les plus salies feront intervenir la technique de l’hydrogommage pour un rendu efficace et peu agressif. Pour des salissures moins tenaces, un lavage à la main suffit.
Les briques peuvent être laissées brutes – dépendant du style de la construction initiale. Elles peuvent aussi recouverte d’un enduit aux qualités respirantes. La peinture de finition, quant à elle, sera de type microporeux, en monocouche ou multicouche.
Obtenir un devis auprès d’un spécialiste du ravalement : harmonie.
